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/ LES INTERROGATOIRES à KGB


 

Avez-vous des signes particuliers sur votre carte d’identité ?

Signe particulier : yeux bleus.

 

Avez-vous fait votre service militaire ?

Non. A l’époque j’ai fait partie de ces générations où l’on exemptait à tour de bras. J’ai donc été exempté pour des raisons sociales. J’étais étudiant salarié et donc je subvenais à mes besoins…

 

Qu’avez-vous fait comme études secondaires et supérieures ?

Donc j’ai un BAC philo, maîtrise en droit, le concours de l’Ecole Nationale de la Magistrature et voilà.

 

Quelle est votre situation matrimoniale actuelle et combien d’enfants avez-vous ?

Je suis marié, j’ai quatre garçons.

 

Vous avez été marié deux fois ?

Oui, j’ai été marié deux fois.

 

Quel est le nom de jeune fille de votre première épouse ?

Beck Blandine, la mère de mes trois premiers garçons. Elle est lyonnaise et je l’ai rencontrée à Lyon, elle habitait rue des Martyrs ! Pour une Blandine c’est quand même pas banal. Tout ce qu’il y a de plus Lyonnais et infirmière.

 

Pourquoi vous êtes-vous séparés ?

On s’est marié très jeunes…

 

Elle ne supportait plus sa belle-mère pied noir ?

Rien à voir. Ma mère n’est vraiment pas pied noir. Elle est réservée, raffinée, peu  expansive, c’est pas Marthe Villa Longa. Elle était petite fille de consul général, elle a eu une éducation stricte, c’était une Italienne de Tunis… Elle a été chanteuse. Elle a chanté à Lyon pendant très longtemps où elle a rempli des salles entières.

 

Votre seconde épouse Christine Goguet est la directrice du Figaroscope « mondaine devant l’éternel et adoratrice de Raymond Barre » selon nos confrères de Lyon Capitale. Dans quelles circonstances l’avez-vous rencontrée ?

Elle est venue me voir dans mon cabinet quand j’étais juge d’instruction. Elle dirigeait à l’époque le Figaro Rhône-Alpes. Elle cherchait à faire le portrait d’un magistrat. Je l’ai rencontrée en 1992 ou 93, mais ce n’est pas pour ça que ça été le coup de foudre, ça n’a pas été instantané… c’est venu après.

 

C’est vous qui l’avez rappelée ?

Non, c’est elle qui m’a rappelée. (Rires)  Et à l’époque, j’avais été nommé procureur adjoint à Bourg en Bresse. Elle m’a appelé très compatissante en me demandant ce qui s’était passé pour que je sois nommé à Bourg en Bresse, que j’avais du être sanctionné. Et je lui est expliqué que non, que j’avais eu une promotion et que j’étais procureur adjoint. Elle m’a proposé de déjeuner, je lui est proposé de dîner… et voilà comment ça c’est fait. Nous avons dégusté un menu d’automne au mois de novembre, chez Léon, chez Lacombe… Et d’ailleurs on y retourne régulièrement, un petit peu en pèlerinage.(Rires)

 

Quand vous êtes à Paris, vous ne devez pas souvent sortir votre porte-monnaie pour aller au spectacle ou au restaurant…

Jamais, je suis toujours l’invité de ma femme.


 

Suite de l'interview