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/ LES SPECTACLES / cinéma

 


 Hellphone
 


 Photo © Fabrice Schiff
 

Par Anne-Sophie Secondi

 

Après « Brice de Nice », James Huth revient sur les écrans avec une teen-comédie délirante ! Pari osé mais réussi ! Des séquences survoltées de cynisme et un tout nouveau rôle pour le jeune lyonnais Jean-Baptiste Maunier, bel et bien grandi, à dix mille de l’enfant de chœur des Choristes !

 

Entrée par la cour de récré : Sid (prototype Clichy), seul ado sans téléphone portable greffé aux doigts, tombe en love d’Angie (stéréotype Neuilly) débarquée de New-York. Grâce à Pierre, complice des jeunes années, la mission consiste à séduire Angie et écarter la frim’victim du lycée, Virgile. Simplicité n’oblige pas, notre jeune fan d’AC DC va acquérir un « cellular phone » ultra design (et évidemment pas au prix du marché) dans un bazar chinois ! Histoire d’une osmose fantastique entre un ado et son téléphone, capable de tuer qui donc se met entre l’élu et ses désirs. Au final : amour d’ados naissant éradication du démon et plus de dix enterrements !

 

La critique

 

Inspiré de « Matrix », « Métropolis » et des « 1001 Nuits ». James Huth signe un film qui nous plonge dans l’univers des adolescents et jeunes filles en fleur. Manipulés par les technologies, omnibulés par l’argent et animés d’hormones. Premier plan : réflexion sur la jeunesse actuelle, pression sociale et besoin d’être « branché ». Incarné par le personnage de Sid, remarquablement interprété par le Jean-Baptiste Maunier : « Pour la première fois parmi tous les projets que l’on me propose, je reconnaissais enfin quelque chose de moi, de ma génération ». Second plan : violence et mort sur fond rock. Références à l’expressionnisme allemand et aux films américains des années 80. « C’est à ce cinéma vivant, imaginatif et généreux que j’avais envie de rendre hommage. » 

En salle le 28 mars 2007
 

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